à un fruit mûr que je voulais cueillir dans une piscine
Femme, ô Femme, ô astre merveilleux ! Sous les cieux adorables de ton visage bruni, je me sens retourner en enfance première, car tu es un soleil, un oubli, une chaumière où je m'éveille, m'épanouis et refleuris. Fais pleuvoir sur ma vie le saule généreux...